
Faire face à une scolarisation à temps partiel
Mon enfant n’est accueilli à l’école, que quelques heures par semaine, sans complément de prise en charge. J’ai fait appel à Urgence Répit. La référente a trouvé une éducatrice en libéral que je rémunère, 2 fois 3 heures par semaine, dans l’attente d’une prise en charge. La Caisse de Retraite, dont je dépends a accepté de financer le dispositif sur 4 mois, à hauteur de 3.000 €, le temps que je monte une demande de PCH auprès de la MDPH.
Etre aidé dans la recherche d’un intervenant à domicile
J’ai un plan d’aide PCH aide humaine et prestataire de 70 heures par mois, mais je ne le dépense pas, car je n’arrive pas à trouver l’intervenant qui convient et je suis épuisée à l’idée de faire ces recherches. Ma référente Urgence Répit m’a aidé à mettre en place un dispositif de prise en charge de mon enfant, avec deux intervenants différents et je sais que je peux compter sur elle pour me retrouver quelqu’un d’autres si l’un des intervenants me lâche.
Envisager la reprise d’une activité professionnelle
J’ai arrêté de travailler, il y a 6 ans, aux 3 ans de mon enfant en situation de handicap, en raison d’une accueil à l’école à temps partiel. Je me suis séparée du papa, en fin d’année dernière et j’ai besoin de reprendre un travail à temps plein, mais les horaires de l’IME ne
permette pas vraiment de travailler à temps plein. Avec la référente Urgence Répit, nous avons mis en place un planning d’interventions avec une service d’aide à la personne et tout se passe bien.
Réaliser mon rêve d’un week-end en amoureux
L’idée de bénéficier d’un week-end de répit, avec mon mari, de temps en temps, est idée qui me laisse rêveuse depuis la naissance de notre enfant polyhandicapée. Grâce à l’accompagnement d’Urgence Répit, nous avons pu trouver une solution. Nous déposons Valentine chez mes beaux-parents et nous avons mis en place une aide chez eux pour le week-end, de 12 heures d’intervention, financée par ma caisse de retraite.
Retrouver de la disponibilité pour le reste de la fratrie
Cette année, mon aîné passe son BAC et avait ses inscriptions à faire sur Parcours Sup. Avec ma troisième, autiste, qui nécessite une surveillance constante, c’est difficile de l’aider. Je suis maman solo. La mise en place d’une aide à la maison de 3 heures, le samedi matin, pendant 4 semaines, m’a permis de trouver le temps nécessaire pour l’accompagner. Le financement a été assuré par une demande auprès d’une fondation.
Inscrire mon enfant au centre de loisirs
J’aimerais inscrire mon enfant au centre de loisirs pour qu’il puisse y aller le mercredi et les vacances avec son petit frère. Le centre de loisirs est d’accord, mais n’a pas l’encadrement suffisant et les moyens pour le rémunérer. Ma référente a pris contact avec la CAF pour qu’une aide puisse être apportée au centre de loisirs pour financer un encadrant supplémentaire et Antoine peut aller désormais au centre de loisirs.